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L'OUVRIER AGRICOLE.
Un agriculteur plein de succès meurt et laisse en héritage tout ce qu'il possède à sa veuve. La veuve était une femme très jolie qui était fermement décidée à continuer à gérer l'exploitation ! Seulement voilà, il y avait un problème, elle n'y connaissait pratiquement rien aux travaux de la ferme, de sorte qu'elle était obligée d'embaucher un ouvrier agricole.
Elle mit une annonce dans le journal et elle eut deux réponses. Le premier à chercher du travail était un alcoolique et le deuxième était un homosexuel. Après avoir mûrement réfléchi, elle décida d'embaucher l'homosexuel pensant que l'homme saoûl ne l'aiderait pas beaucoup.
Quelques temps plus tard, il s'avéra que son ouvrier agricole était une vraie force de la nature qui travaillait de nombreuses heures tous les jours et qui avait de très solides connaissances en ce qui concerne les réalités paysannes. Pendant de longues semaines, ils travaillèrent ensemble à la ferme qui florissait énormément. Un jour, la veuve dit à son valet de ferme : " Vous avez déjà fourni un superbe travail, allez-donc ce soir faire la fête en ville ! " L'ouvrier fut aussitôt d'accord et alla faire un tour dans le monde ce soir-là. Vu que le valet n'était toujours pas rentré à 1 heure du matin, la veuve commença à s'inquiéter un peu. À 2 heures, elle paniquait tant soit peu jusqu'à ce que le valet ouvrît enfin la porte du salon à 2 heures et demi. Il vit que la femme était assise près de la cheminée ouverte. Tranquillement, elle demanda au valet de s'approcher d'elle !
" Enlève mon chemisier, " dit la femme ravissante. En tremblant, l'ouvrier fit ce que sa patronne lui demandait. " Maintenant, enlève mes bottes, " lui ordonna la femme. Cela, il le fit aussi, lentement. " Maintenant, enlève donc mes pantys, " dit-elle fermement. Cela, l'ouvrier le fit aussi sans rechigner le moins du monde. " Et maintenant, enlève donc ma jupe ! " Encore une fois, il lui obéit sans hésiter. " Et maintenant, enlève aussi mon soutien-gorge ! " De nouveau avec les mains tremblantes, il fit ce qu'on lui demandait. Finalement, elle le regarda droit dans les yeux et lui dit :
" Ne t'avise pas d'aller encore une fois en ville dans mes vêtements ! "
DE KNECHT.
Blague issue du site néerlandais :
Claude SEGARD SANGATTE BLERIOT
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Commentaires
bonsoir Claude,
j'ai adoré la fin, je ne m'y attendais pas. .
Cela me fait trop rire.
Très bonne semaine.
Amicalement
Cricri