Titre du blog : CLAUDE SEGARD SANGATTE BLERIOT
Auteur : claudesegardsangatte
Date de création : 30-07-2010
Auteur : claudesegardsangatte
Date de création : 30-07-2010
posté le 08-12-2012 à 22:07:46
TU HABITES Où ?
Où HABITES-TU ?
Le policier : " Toi, où est-ce que tu habites ? "
Moi : " Chez mes parents. "
Le policier: " Et où habitent tes parents ?"
Moi : " Chez moi. "
Le policier : "Où habitez-vous ? "
Moi : " Nous habitons chez l'un chez l'autre, ensemble quoi."
Le policier : " Où se trouve votre maison ? "
Moi : " À côté de celle de nos voisins. "
Le policier : " Où se trouve la maison de vos voisins ? "
Moi : "Si je vous le dis, vous n'allez certainement pas me croire ! "
Le policier : " Dis-le un peu pour voir ."
Moi : " À côté de ma maison ."
WAAR WOON JE ?
Politie : " Waar woon jij ? "
Ik : "Bij mijn ouders. "
Politie : " En waar wonen jouw ouders ? "
Ik : " Bij mij. "
Politie : " Waar wonen jullie? "
Ik : " Wij wonen bij elkaar. "
Politie : " Waar is jullie huis ? "
Ik : " Naast dat van onze buren. "
Politie : " Waar is het huis van jullie buren ? "
Ik : " Als ik u dat vertel, zult u mij niet geloven. "
Politie : "Zeg het maar. "
Ik : " Naast mijn huis. "
Blague issue du site néerlandais :
Claude SEGARD SANGATTE BLERIOT
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Commentaires
bonsoir Claude,
vraiment excellente ton histoire. Ça fait du bien après ma journée aventureuse.
Je vais à Fort-de-France ce matin, je prends le bateau. Au retour, à 14 h, plus de bateau, jamais le samedi après-midi et le dimanche.
Je ne le savais pas. Fallait trouver une solution.
J'ai pris un taxico jusqu'au pont de Rivière Salée.
Plus de car pour L'Ane-à-l'Ane où je loge. Je dois faire du stop, rien. Deux jeunes filles arrivent et font du stop, un de leurs cousins les prend en voiture. Je monte avec. Elles n'allaient pas au même endroit que moi. Le cousin me laisse sur le chemin, en me disant : faites du stop. Ce que je fais. Dur, dur personne n'arrêtait. J'avais surtout peur que la nuit tombe.
Il y avait un rasta éméché qui faisait du stop. Une voiture s'arrête et le prend, c'était un copain à lui. Je monte.
Le rasta est descendu avant moi et je suis descendue ensuite à l'Anse-à-l'Ane.
J'ai dit ouf !
J'ai compris que le samedi et le dimanche, vaut mieux rester tranquille.
Doux dimanche
Amicalement
Cricri
Cool ton blog... Julia