posté le 21-03-2012 à 11:27:51
AUTO-STOPPEUR EN AUSTRALIE, FAUDRAIT PAS TROP POUSSER QUAND MÊME...
L'AUTO-STOPPEUR
Cela s'est passé à Brisbane en Australie, et bien que cela ressemble à une histoire à la Alfred Hitchcock, tout est on ne peut plus vrai.
John Bradford, étudiant à l'Université de Sydney était en train de faire de l'auto-stop un soir bien sombre sous une grosse tempête de pluie, et aucune voiture ne venait à passer.La tempête était si forte qu'il voyait à peine à quelques mètres devant lui. Tout à coup, il s'aperçut que quelque chose s'approchait de lui tout doucement venant de l'arrière. Il était si difficile de distinguer ce que c'était qu'il comprit qu'il s'agissait d'une voiture seulement lorsqu'elle roula près de lui.
Reconnaissant, il ouvrit la portière, sauta à l'intérieur et referma la portière.La voiture recommençait à peine à rouler qu'il réalisa qu'il n'y avait personne au volant et que le moteur ne tournait pas. La voiture progressait lentement. Angoissé, John regarda devant lui et vit une courbe assez dangereuse. Il commença à prier, implorant pour sa vie. La pluie se mit à tomber encore plus fortement.La visibilité était nulle et la voiture commençait à prendre de la vitesse.
Ses prières furent entendues. Juste avant le virage, une main passa à travers la vitre ouverte et tourna le volant. John continua à prier et vit, figé par la peur, qu'à chaque fois que la voiture s'approchait d'un virage, la main salvatrice apparaissait. John vit à peine surgir les lumières d'un café. Tremblant nerveusement à cause de son expérience, il sauta de la voiture et courut vers le café. Tremblant et essoufflé, il se dépêcha d'entrer et demanda deux téquilas coup sur coup. Alors, il commença à parler à tout un chacun de la lugubre expérience qu'il venait de vivre. Tout devint complètement silencieux dans le café lorsque tout le monde se rendit compte qu'il hurlait mais qu'il n'était sûrement pas ivre.
Deux hommes entrèrent alors dans le café. Eux aussi étaient trempés jusqu'aux os et épuisés. En regardant autour d'eux dans le café, ils virent John au bar en train de se moucher, et l'un dit à l'autre : " Regarde, Bruce, voilà l'imbécile heureux qui s'est assis dans notre voiture pendant que nous, nous étions en train de pousser! "
De Lifter
Dit is gebeurd in Brisbane, Australie, en hoewel het op een Alfred Hitchcock verhaal lijkt, is het echt waar.
John Bradford, student aan de universtiteit van Sydney, was op een donkere avond in een zware regenstorm aan het liften. Er kwam geen enkele auto voorbij. De storm was zo zwaar dat hij nauwelijks een paar meter voor zich uit kon kijken. Plotseling zag hij dat er achter hem iets langzaam dichterbij kwam.
Het was zo moeilijk te onderscheiden wat, dat hij zich niet realiseerde dat het een auto was totdat hij naast hem reed.
Dankbaar opende hij de deur, sprong naar binnen en trok de deur dicht. Pas toen de auto weer begon te rijden realiseerde hij zich dat er niemand achter het stuur zat en de motor niet liep. De auto rolde langzaam verder. Angstig keek John voor zich uit en zag een scherpe bocht in de weg voor zich uit. Hij begon te bidden, smekend voor zijn leven. De regen kwam nu nog harder naar beneden. Het zicht was nul en de auto begon snelheid te maken.
Zijn gebeden werden verhoord. Net voor de bocht kwam er een hand door het open raam naar binnen en draaide aan het stuur. John bleef bidden en zag, verstijfd van angst, hoe de helpende hand iedere keer opnieuw verscheen als de auto een bocht nadere.
John zag nauwelijks de lichten van een cafe voor zich uit opdoemen. Rillend van de zenuwen over zijn ervaring sprong hij uit de auto en rende naar het cafe. Nat en buiten adem snelde hij naar binnen en vroeg twee shots tequila. Toen begon hij iedereen te vertellen over de spookachtige ervaring die hij zojuist had gehad. Het werd volledig stil in het cafe toen iedereen besefte dat hij huilde maar toch zeker niet dronken was.
Toen liepen 2 mannen het cafe binnen. Ook zij waren doorweekt en uitgeput. Toen ze het cafe rondkeken en John aan de bar zagen staan snotteren, zei de een tegen de ander: “Kijk Bruce, daar heb je die stomme idioot die in de auto ging zitten terwijl wij hem duwden”.
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