DES CADAVRES DANS LE JARDIN.
Dans un petit village de l'Ohio, un vieux père écrit à son fils unique qui est en prison :
" Mon très cher Jack,
Cette année, je ne vais pas pouvoir planter des pommes de terre ni d'autres légumes dans mon potager. J'ai essayé mais bêcher est trop dur pour moi. D'habitude, tu m'aidais à le faire, mais bon,...
Bien à toi, ton père. "
Quelques jours plus tard, une réponse provient de la prison :
" Mon très cher papa,
Au nom du ciel, ne bêche pas dans ton potager, c'est là que j' ai enterré LES CADAVRES.
Bien à toi, Jack. "
Suite à la censure du courrier de la prison, le FBI et la police locale sont à la maison du vieil homme quelques jours plus tard et retournent le jardin dans tous les sens, à la recherche des cadavres. Les policiers ne trouvent rien, s'excusent auprès du monsieur et s'en vont.
Le lendemain, à nouveau une lettre en provenance de la prison :
" Mon très cher papa,
Alors, content avec le potager ?
Bien à toi, Jack. "
LIJKEN IN DE TUIN.
In een klein dorpje in Ohio, schrijft een oude vader aan zijn enige zoon, die in de gevangenis zit:
"Beste Jack,
Ik zal dit jaar in mijn moestuin geen aardappelen en groenten kunnen planten. Ik heb geprobeerd, maar het spitten valt me te zwaar. Gewoonlijk hielp je me daarbij, maar ja...
Groeten, je vader."
Een paar dagen later, antwoord uit de gevangenis:
"Beste Pa,
spit in hemelsnaam niet in je moestuin! Daar heb ik de LIJKEN begraven.
Groeten, Jack."
Als gevolg van de censuur op de gevangenisbriefwisseling, staan een paar dagen later de FBI en lokale politie aan het huis van de oude man, en graven de hele tuin ondersteboven, op zoek naar de lijken. Er wordt niets gevonden, de politiemensen verontschuldigen zich bij de man en vertrekken.
Dag later, opnieuw een brief uit de gevangenis:
"Beste Pa,
blij met de tuin?
Groeten, Jack."