À MON FRÈRE ÉRIC LE 03 NOVEMBRE 2009
49, c'est pour certains géants la pointure de leurs chaussures
Pour d'autres la fin d'une période cruciale, c'est sûr.
Pour d'autres encore, l'année de départ d'une nouvelle aventure,
Mais pour toi, c'est l'âge que tu aurais eu aujourd'hui,
Si seulement, tu n'avais pas été emporté par la maladie.
Déjà 13 ans que tu es parti pour le paradis,
Le paradis assûrément car tu étais épris de paix,
Ton amour pour les pigeons était le témoin parfait
De ton idéal de justice et de fraternité.
Tous ceux qui t'ont connu, en particulier les colombophiles,
Surtout ceux de SANGATTE BLERIOT, membres de la grande famille
Des amoureux de ces paisibles volatiles,
Gardent de toi un excellent souvenir.
Dans la vie, il faut savoir lier le passé, le présent et l'avenir,
C'est en quelque sorte un devoir de mémoire, et pour moi un plaisir.
J'ai écrit cette poésie le 03 novembre 2009
Elle est parue sur mon blog hébergé par Ifrance,
inaccessible actuellement.
CLAUDE SEGARD SANGATTE BLERIOT
Cliquez aussi sur JEAN SEGARD COURSES INFOS