À MON FRÈRE ÉRIC,
C'est Jacques BREL qui chantait
Quand les fils de novembre
Nous reviennent en mai,
J'ai du mal à comprendre
Que tu sois parti en juillet,
En pleine jeunesse, ça fait douze ans déjà,
La maladie t'a emporté,
Mais même absent, tu es encore là,
Et chaque fois que je fais des mots croisés
Ou bien que je vois un pigeon ou un colombophile
Quelqu'un qui te connaît,
Qu'il soit de BLERIOT, SANGATTE , ou d'ailleurs,
Ton souvenir revient à la vitesse Grand V,
Celle d'un grand voyageur,
Un voyageur invétéré.
Tu disais souvent que la vie ne tient qu'à un fil,
Il y a toujours quelqu'un au bout du fil, c'est vrai !
Toi qui aimais les jeux de mots, le patois pardi,
Je suis sûr que tu aurais aimé
Dany BOON et " Bienvenue chez les Ch'tis "
Tu ne nous as pas vraiment quitté,
HEIN ?
J'ai écrit cette poésie le 03 novembre 2008
Elle est parue sur mon blog hébergé par Ifrance,
inaccessible actuellement.
CLAUDE SEGARD SANGATTE BLERIOT
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